Stop aux violences
Les violences représentent donc une atteinte grave aux droits et à la dignité de la personne ainsi qu'une atteinte grave à l'intégrité physique et psychique des victimes. Elles ne sont pas une fatalité et doivent être combattues. Elles sont rendues possibles par les inégalités et les discriminations qui doivent donc être également combattues, qu'elles soient sexistes, racistes, liées à la pauvreté, à l'âge, à la maladie, aux handicaps, et aux orientations religieuses, politiques, sexuelles.
L’ONU, avec l’OMS, a donc reconnu clairement que ces violences étaient intentionnelles, qu'elles représentaient une atteinte grave aux droits et à la dignité des personnes, et qu'elles étaient à l'origine d'atteintes à leur intégrité psychique et physique. Elle a reconnu également la spécificité des violences faites aux femmes et aux filles, et les a décrites comme des violences sexistes fondés sur la domination masculine et les inégalités de pouvoir entre les hommes et les femmes, et comme un marqueur du contrôle social des femmes. Les violences sont donc reconnues comme une question de droit et non une question d’intimité, de sexe, de couple, de famille, de coutume ou de culture, et les conséquences des violences sont une question de santé publique.
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